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Réponse au communiqué « Pour une première année de médecine dans la Nièvre »

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Réponse au communiqué « Pour une première année de médecine dans la Nièvre »

Tags : universite

Ce vendredi 24 mars, l’université de Bourgogne a pris connaissance d’un communiqué de presse (ci-dessous) intitulé « Pour une première année de médecine dans la Nièvre ». Ce communiqué adressé mercredi à différents médias appelle de nombreux élus de la Nièvre à un « rassemblement le 27 mars prochain à 14h30 devant le siège de la présidence de l’université de Bourgogne à Dijon ».

L’université de Bourgogne souhaite dénoncer une méthode pour le moins surprenante de la part d’élus de la République. Une méthode par ailleurs malhonnête lorsque le communiqué précise qu’ils « demanderont à être reçus par le président de l’université » alors même que les élus de la Nièvre savent que le président ne pourra pas les recevoir à cette date. Comme en attestent les différents échanges (courriers et courriels) ci-dessous.

L’université de Bourgogne est un partenaire historique de la ville de Nevers, son agglomération, du département de la Nièvre et des entreprises de ce territoire. Ensemble et depuis de nombreuses années, nous avons développé une école d’ingénieur de renommées nationale et européenne, l’ISAT, nous avons mis en place une L1 et L2 de Droit, nous avons mis en place un master MEEF, et enfin dernièrement, nous avons également ouvert une L1 de sciences de l’éducation à la rentrée 2016-2017.

Parce que l’université de Bourgogne est un partenaire sincère, elle n’a jamais laissé entendre aux élus de la Nièvre qu’une ouverture d’une première année de PACES serait possible à Nevers. Le Conseil d’Administration de l’uB l’a d’ailleurs rappelé par une délibération sous forme de vœu lors de sa séance du 14 février 2017.

Le président de l’université de Bourgogne souhaite que la concertation et le dialogue prime sur toute autre forme d’action. Il rappelle ici aux élus de la Nièvre qu’il est tout à fait ouvert au principe d’une rencontre à une date qui devra être convenue en amont.

En revanche, n’acceptant pas une méthode pour le moins surprenante de la part d’élus de la République, à l’encontre d’un partenaire institutionnel et historique, la gouvernance de l’université de Bourgogne refusera de se prêter à cet ultimatum. En conséquence de quoi aucune délégation ne sera reçue ce lundi 27 mars.

 

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